Przejdź do treści
X
grafika
Z całego świata
  • Francja
  • Holandia
  • Belgia
  • Anglia
  • usa
  • irland
  • szwecja
  • wlochy
  • Australia
  • Hiszpania
  • Japonia

Les Amis de Solidarité

Lorsque dans la nuit du 12 au 13 décembre 1981, les espoirs qu’avait fait naitre le mouvement „Solidarność” furent écrasées par les tanks, des milliers de gens sont sortis protester dans les rues de Paris New York, Bruxelles ou Rome mais aussi à Montréal. Tokyo et Mexico. Personne ne savait ce qui s’était exactement passé en Pologne. Bientôt devaient arriver les premières photos, témoignages et informations : des milliers de personnes arrêtées et emprisonnées, des tanks et les militaires dans les rues, des morts, des grèves et des manifestations, le courrier et les conversations téléphoniques contrôlés. Le sentiment d’indignation et de révolte s’est vite transformé en actions concrètes : lettres et pétitions envoyées aux autorités polonaises, comites d’aide et de soutien à la Pologne de Solidarnosc, camionnettes (bientôt des convois de camions) sur les routes vers l’Est avec des colis d’aide humanitaire aux Polonais qui souffraient.

La Pologne n’a jamais eu autant d’amis dans le monde…

Les grèves de l’été ’80 et la formation de „Solidarnosc” avaient suscité une vague d’intérêt et de sympathie pour la Pologne. Des milliers de personnes (journalistes, syndicalistes, chercheurs, militants associatifs, etc.) observaient la situation avec espoir, Certains partaient en Pologne pour découvrir personnellement cet étrange pays (bien que gris et pauvre) et pour apporter leur soutien. Pays, qui depuis la visite de Jean-Paul II en 1979 dans son pays natal n’était plus considéré comme « l’un des pays du bloc soviétique ». La Pologne suscitait de grandes émotions et des questions.

Lorsque le 13 décembre ’81 le général Jaruzelski décida d’enfermer dans les prison des milliers de militants et conseillers du syndicat NSZZ « Solidarność », au moins autant de personnes „Amis de Solidarność” se sont manifestées Non moins déterminées et fidèles, seulement certains étant membres du syndicat interdit.

Il y a 20 ans grâce à la direction du quotidien « Rzeczpospolita » nous leurs avons consacrées un site

Depuis des années, je m’efforce de „sauvegarder de l’oubli » leurs histoires. Je ne suis pas seul - heureusement. Il y a 15 ans, j’ai publié un Album honorer les Amis de France :„Merci pour votre solidarité

Lorsqu’au printemps, en pleine épidémie, le Ministère Polonais de la Culture lança un programme « la culture sur le Net », j’ai posé ma candidature et …j’ai obtenu une bourse de trois mois, J’ai créé une page spéciale sur FB.

Aujourd’hui, j’ai le grand plaisir de lancer un vrai site internet

Je vous invite à le visiter, à le compléter et l’améliorer….

Marcin Frybes

BOHATEROWIE DNIA

  • Tadeusz WALENDOWSKI

    Tadeusz WALENDOWSKI

    (1944–2004) – Jako pierwszy przetłumaczył i opublikował w USA tekst Gdańskich Porozumień; działacz opozycyjny, redaktor podziemnego pisma „Puls”, w latach 1977-79 prowadził (wraz z żoną Anną Erdman-Walendowską – wnuczką Melchiora Wańkowicza) słynny niezależny „Salon” przy ul. Puławskiej w Warszawie. Wyjechał z rodziną z Polski w 1979 r. do Stanów, gdzie pracował w polskiej redakcji "Voice of America".

  • Yoshiho UMEDA

    Yoshiho UMEDA

    (1949 – 2012) Japoński przedsiębiorca, działacz opozycji demokratycznej i Solidarności. Przyjechał do Polski zgodnie z ostatnia wolą Ojca w wieku 14 lat i zamieszkał w Łodzi w rodzinie prof. K. Jażdżewskiego. Studiował polonistykę i historię sztuki na UW. Przedstawiciel w Polsce japońskich firm. Współpracownik KSS KOR i NOWA, a następnie NSZZ „Solidarność” (zastępca szefa Biura Zagranicznego NSZZ ‘Solidarność’ reg. Mazowsze).

  • Jan KUŁAKOWSKI

    Jan KUŁAKOWSKI

    (1930 – 2011): działacz związkowy, polski polityk i dyplomata. Uczestnik Powstania Warszawskiego. W 1946 wyemigrował do Belgii, gdzie w 1953 r. uzyskał doktorat z prawa na Uniwersytecie w Louvain. Od 1954 pracował w Sekretariacie Generalnym Międzynarodowej Konferencji Chrześcijańskich Związków Zawodowych.